Coup de gueule
Sur la vague...

12/06/03

Bientôt les vacances...

Vous vous souvenez de l'Erika , Et du Prestige ? Et des autres ?
Si je vous demande ça, c'est que j'ai la désagréable impression d'être une des seules à me souvenir de ces catastrophes, pas naturelles, humaines…
Tous les ans, c'est la même chose. A l'approche de l'été et, de ses flots de vacanciers dépensiers, les média se font discrets, voire silencieux sur la suite des dégâts que continuent de causer les grands naufrages pétroliers, gaziers ou autres.
Un peu comme si, d'un commun accord, les journalistes, les politiciens, les citoyens, préféraient oublier les nappes de pétrole le temps d'accumuler les mannes financières par nos amis estivants.
On peut, à la rigueur, comprendre les mairies qui ne vivent que de l'argent estival, mais peut-on excuser les gens dont le métier est de nous informer ou de nous protéger.
J'ose penser que non.
Pour mettre rendue sur la côte atlantique il y a peu, je peux témoigner des marques laissées par le pétrole du Prestige.
Non, les plages ne sont pas propres. Il m'a fallu chercher une place pour pouvoir m'assoir sur les rochers et contempler la mer. Quelques surfeurs se risquaient à la défier de leur planche. Et leurs équilibres précaires suivis de chutes souvent spectaculaires dans l'océan, ne faisaent que renforcer ma colère quant à ce que doit supporter notre bien le plus précieux pour enrichir quelques grosses compagnies pétrolières.
Je dois avouer que dans cette histoire, il n'y a pas d'innocents…
Dire que les sociétés pétrolières sont les premières coupables, c'est vrai. Mais ne serait-ce pas une façon de cacher notre responsabilité ?
Pour me rendre sur cette plage, combien de litres de carburant partis en fumée. Ma voiture est bien réglée, mais elle consomme quand même de ce même pétrole dont on abreuve la mer.
Lorsque j'étais assise sur les quelques rochers qui me le permettaient, j'ai vu au loin un sac plastique voleté jusqu'à l'eau tranquillement. Sur la dizaine de personnes qu'il a croisées, aucune n'a jugé bon de le ramasser… Que dire des mégots, des papiers, des bouteilles plastiques, de toutes ces saloperies que nous laissons derrière notre passage…
Il faudra bien qu'un jour, on se réveille et qu'enfin nous essayions de laisser à ceux qui nous suivront une Terre un peu plus clean…
Je ne vais pas sauver le monde, je n'ai pas cette prétention, mais si cet été, après avoir lu ce modeste cri, il vous arrive de ramasser, d'empêcher le lâchage de cochonneries, alors, j'aurai, nous aurons un peu gagné, non ?
Alors tant pis, si ce n'est pas " vacancièrement correct ", mais je vous mets au défi, cet été, de nettoyer devant votre porte. Je ferais en sorte que la mienne reste propre…
Ne soyons pas aveugles, la pollution est toujours là. Elle ne fait pas relâche pour l'été !

Atchoum

09/12/02

Pollueurs, Pollués, oillez...

Quand allons-nous comprendre qu'il est temps de prendre en main le destin de nos océans, la pureté de nos plages. Nous, terriens. Pas français, espagnols, européens, américains, indiens… Peu importe, nous sommes tous embarqués sur la même planète.
Je ne suis pas mieux que les autres, que vous. Je pique ma colère du fond de mon canapé, bien au chaud devant "Planète Thalassa". Mais, ce que je vois me révulse. Des mers encrassées, des marins à terre (quoi de pire pour un marin), des animaux infectés, morts ou englués, des hommes qui pleurent, des femmes qui ne peuvent plus travailler.
Et tout cela pourquoi ?
Pour qu'un armateur fasse un peu plus de marge en réduisant les frais de port. Pour que de vils individus engraissent leurs comptes en banques de quelques millions d'euros de plus.
Ici, notre (enfin c'est pas tellement le mien, mais bon…) Président se met en colère, réclament l'application de lois qui existent déjà. Interdit le passage d'un nouveau cargo poubelle. C'est bien, c'est grand, c'est populaire voire populiste… Mais quand donc un homme d'état, de quelque bord que se soit, osera oser l'impensable ? Qui donc osera se lever, taper du poing sur la table de la pollution pétrolifère et nous mettra, nous, gros consommateurs d'énergie, face à nos responsabilités.
Car si, bien sûr, nous ne sommes pas responsables des 4 marées noires connues en 25 ans par la Galice. Car si, bien sûr, nous ne sommes pas coupables d'avoir engluées, une fois de plus, nos côtes cette année.
Ne serions-nous pas un peu coupables, quand même ? Sommes-nous prêts à payer quelques centimes d'euros de plus pour que les "marchands" de pétrole utilisent des bateaux plus récents ? Sommes-nous prêts à accepter que le nucléaire soit malheureusement à l'heure actuelle la façon la "plus propre" de baisser notre consommation d'or noir ? Serions-nous prêt à voter pour quelqu'un qui nous dit la vérité sur les sacrifices qu'il nous faut faire pour essayer de sauver ce qu'il nous reste de la planète qui nous a été confiée. Pourrons-nous, un jour, reconnaître qu'en un siècle nous avons fait plus de dégâts qu'en plusieurs ?
Alors, oui, les armateurs sont les premiers responsables de l'horreur qui s'est abattue sur les côtes atlantiques. Oui, ce sont les "vendeurs" les premiers responsables, de cette mort violente déversée sur la faune océanique. Mais non, nous ne sommes pas blancs comme neige. Mais, nous ne sommes pas encore prêts à vouloir accepter que nous soyons devenus des consommateurs exigeants quand il s'agit de défendre nos droits. Et, un peu moins, quand il s'agit de respecter nos devoirs…
Les dernières élections ont prouvées une fois de plus que nous remettre en cause n'est pas notre sport favori. Alors, en attendant de grandir essayons au moins d'agir. Eteindre la lumière dans une pièce vide est à notre portée, non ? Ne pas laisser couler l'eau sans en avoir réellement besoin, on peut le faire, non ? Je sais que ça parait n'être qu'une goutte d'eau, mais si chacun d'entre nous, sauve quelques gouttes d'eau, c'est un océan que nous finiront par sauver. Ce n'est pas un prix si cher à payer pour réparer nos erreurs mortelles, non ?

Atchoum

07/08/02

Les sports nautiques à la télé... ou plutôt pas à la télé !

Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler de la couverture médiatique qu'offre la télévision aux sports nautiques. A ce moment précis, vous vous dîtes " Mais de quoi qu'elle cause celle-la ? Des sports nautiques à la télévision ???? ". Et oui, car si vous n'êtes pas les heureux habitants d'une ville recevant le câble ou que vous n'y êtes pas abonné, du sport nautique à la télévision, vous n'en voyez guère que tous les quatre ans, au moment des Jeux Olympiques. Evidemment, vous pouvez toujours aller vous installer à Harvard, pour pouvoir assister à quelques courses d'aviron mais cela reste assez compliqué et plutôt coûteux. D'ailleurs, la solution du câble reste elle aussi coûteuse, car ce n'est évidemment pas grâce à la chaîne sportive comprise dans l'abonnement que vous allez pouvoir vous régaler de vos images favorites. Car à part un peu de surf, on ne peut pas dire qu'il y ait foison d'images de vagues et d'océan si ce n'est pour nous montrer quelques pêcheurs ou autres gardiens de phares esseulés. D'ailleurs, à ce propos, il faudrait bien qu'une certaines émissions de la troisième chaîne renouvelle son stock de sujet car si les reportages ne sont pas toujours sur les mêmes sujets, eux ne changent pas vraiment. Il se passe quand même assez de choses sur les mers du monde pour que l'on trouve autre chose à nous montrer que les éternels plongeurs de toutes les falaises du Monde…
Il pourrait y avoir une raison à cette absence d'intérêt pour les sports nautiques alors qu'on nous écrase de retransmissions de football ou de course automobile à toutes les sauces, il n'y a peut-être pas assez de pratiquants et d'amoureux de la voile ou d'autres chars pour rentabiliser de telles retransmissions. Mais si on suit ce raisonnement, après tout je veux bien le faire, il y a plusieurs milliers de Formule 1 cachées dans les garages de nos villes et des centaines de milliers de ballons de rugby ailleurs que dans le sud… :-) Donc ça ne peut pas être ça ou alors je ne sors plus ma modeste ZX (qui est à vendre d'ailleurs… del.p@free.fr...) le dimanche, c'est bien trop dangereux…
Alors qu'est-ce que c'est ? La réputation très élitiste des sports nautiques ? Ça pourrait être une réponse mais alors seulement partielle parce que par exemple combien coûte une formule 1, combien coûte une "bonne" raquette de tennis ?
Alors quoi ? Et bien personnellement, je ne vois qu'une solution, les directeurs de chaînes sportives ou de services des sports n'ont jamais assisté à une régate, à une course de char à voile… Ils ne fréquentent que les fédérations sportives pourries par l'argent et la triche et où les sponsors sont prêts à dépenser des millions d'euros pour voir leur logos à l'écran.
Le seul coupable c'est encore et toujours l'argent, mais le sale. Celui qui pourrit tout, du cycliste amateur au secrétaire du comité Olympique. Celui qui tue une certaine idée de la compétition au bénéfice d'une certaine idée de la rentabilité. Bien sûr ce discours, j'en ai conscience fait un peu arrière garde mais peut importe, je continue à dire que le sport et l'argent ne font pas bon ménage et comme la télé et l'argent font eux, très bon ménage, j'en déduis que les sports non médiatiques ont su rester propres. Et ça, on peut en être fiers !
Alors tant pis si on ne passe pas plus de courses ou de régates à la télévision, je préfère croire que c'est parce que ce sont des sports propres plutôt que de penser que c'est parce que ça manque de vie parce que là vraiment, je ne peux pas le croire…
Mais réjouissons nous de la mer on va en voir et de la belle… Nous sommes en été, et nous allons avoir droit aux éternels débarquements de vacanciers et autres "capingneurs" sur nos belles côtes d'atlantique et d'ailleurs, et ça, on en peut pas se plaindre, tous les ans, on y a droit !

Atchoum

14/04/01

Bientôt les vacances...

Si, si je vous assure. D'ailleurs, pour vous en persuader, allumez votre poste de télévision à l'heure des journaux et regardez. Vous ne verrez que des files d'automobilistes s'entassant sur les autoroutes roulant rageusement vers les 20 m² qu'ils ont loué une fortune pour se reposer du voyage qu'ils entament à peine…

Pourquoi l'Homme est-il un mouton ?
Pourquoi coure-t-il s'entasser dans les mêmes régions de France que ses voisins alors que notre pays est si riche ?

Prenons l'aoûtien de base…
Que cherche-t-il pour ses vacances ? Dans un premier temps, on peut espérer qu'il cherche avant tout le soleil puis, le repos et enfin la tranquillité. Pour l'humain " normal ", le soleil se trouve au sud. Il va donc dans le midi de la France. Mais là, même si le repos peut-être présent, point de tranquillité à l'horizon. Dès le départ, notre concitoyen vacancier, se retrouve bloquer pour de longues heures au volant de son automobile, le vacancier ne va pas à pied. Les files ne bougent pas, il est là au soleil, dans la chaleur accablante de son véhicule, qu'il a payé déjà si cher qu'il ne pouvait ajouter la clim. Et puis la clim, ça ralentit la voiture, pas de pointe à 160 km/h… Ok, vu l'état des routes… Mais il n'allait quand même pas partir une journée plus tard et perdre une journée de location… remarquez, ce sera plutôt une nuit mais une nuit c'est une nuit… Et demain, tout sera oublier jusqu'au jour du retour où là ce seront les vacances qui seront oubliées dans la chaleur de la voiture, assis sur ses coups de soleil.
Une fois arrivé à bon port, le vacancier se met à la recherche de sa location. Et trouve, en lieu et place du palace escompté, une jolie petite bicoque qu'il ne louerait pas pour la moitié du prix dans une autre région. Mais le voilà installé au bord de la crise cardiaque (la chaleur, le bruit des voisins, les enfants qui hurlent…) et il est heureux. Il a réalisé le rêve de tous les vacanciers, il est dans le midi à se faire rôtir… Tous les vacanciers ??? Pas sûr.


Il y a une autre sorte de vacanciers. Celle qui préfère découvrir des régions moins touristiques mais beaucoup plus charmantes. Comme la Bretagne par exemple. Celui qui n'a pas vu St Malo sous l'azur céleste pur ne peut pas comprendre ce qu'est la beauté d'un ciel. Celui qui n'a pas vu l'Atlantique s'agiter et venir se fracasser sur les falaises abruptes de la côte malouine ne sait ce qu'est la mer. La vraie, pas celle qui sert de chaudron à la cuisine des petits parisiens en été… Celui qui n'a pas gravi les marches du Mont St Michel ne sait pas ce qu'est la générosité de la nature…
Vous êtes en droit de vous dire que j'exagère, mais moi qui ne suis ni marin, ni bretonne, je sais enfin où se cache ma paix et où la nature me donne rendez-vous.
Sortez des chemins habituels et jugez vous même ce qui est le plus beau, ce qui est le plus vrai, ce qui est le plus pur…

Atchoum

18/10/00

Bonjour à tous ! Encore et encore du mazout...

Me voici revenu de vacances avec plein de mazout sur les doigts. Non, je plaisante, je l'ai évité, moi. Si j'insiste sur le fait que MOI j'ai évité de patauger dans la mer plus noire que bleue de la Bretagne et autre Vendée, c'est que j'ai vu des choses qui dépassent la raison humaine (qui, vous allez le constater, est très limitée chez certains et certaines…). Je me suis donc offerte une jolie balade sur la côte bretonne en partant de Quiberon pour aller à St Gildas. Le voyage a réellement été un enchantement, les mots ne peuvent rendre la magnificence des sites. En bas de chaque falaise aperçue se cache un trésor de nature, du vert, du bleu, du jaune et… du noir, composent un tableau quasi parfait que nos yeux ne sont plus habitués à voir. Car du noir il y a eu, du noir il y a et du noir il restera. Mais rassurez-vous, ça n'empêche pas les bons pères de famille de faire trempouiller leur marmaille au milieu des rochers tâchés de mazout, les pieds dans l'eau polluée et surtout, et là on atteint des sommets… d'encourager leurs enfants à ramasser les coquillages ! Le plus drôle, si je puis dire, c'est que ce sont les mêmes qui vous jettent des regards assassins lorsque vous frôler leur si précieuse descendance avec votre caddie le samedi matin.
Alors je veux bien qu'on soit " solidaires des bretons " mais rouler ses enfants dans le mazout, est-ce la meilleure solution ?
N'aurait-il pas mieux valu prendre un saut et ramasser, avec des gants, le pétrole..
Je n'ai pas la solution mais franchement, je n'ai pas vu de " bons pères " de famille sur cette plage.

Photos en août à la pointe St Gildas (les zones sombres sont du fioul) sauf la photo 1 : pointe de Quiberon

23/04/00
Juste retour des choses ou continuité de la malchance ?

Les communes des plages de l'Atlantique française voudraient bien nous faire oublier ce qu'elles ont eu tant de mal à nous apprendre. Après avoir clamé haut et fort que leurs plages étaient polluées, moches et gâchées par le pétrole, ce qui d'ailleurs n'est plus à démontrer, elles voudraient bien maintenant mettre leurs mouchoirs sur les petites boules noires si disgracieuses et dangereuses et attirer à nouveau les machines à sous que sont les touristes. Ce dont on ne peut pas les blâmer, il faut bien vivre...Notez, qu'elles ont été entendues avant de crier puisque comme nous l'expliquait une brave mère de famille lors d'un journal de 20 heures, certains sont venus sur la côte atlantique par solidarité. Beau geste, certes, mais quand on entend un "bon père de famille" expliquer que le seul inconvénient ce sont les tâches de pétrole sur les vêtements du petit dernier, on est en droit de se demander si tous les parents sont comme ça, si aucun ne pense à la santé de ses enfants en priorité. J'ai beau être triste pour les côtiers dont les villes ont été salies par la marée noire mais il n'empêche que j'aime à savoir que jamais mes parents n'auraient fait passer les intérêts financiers de gens qu'ils ne connaissent pas avant la santé de leurs enfants. Après tout, les maires qui ont convoqués les huissiers et la presse avant l'arrivée du pétrole ne font que payer leur impatience à être traités en victime même s'ils ont fini par l'être. La prochaine fois, et j'espère qu'il n'y en aura jamais, ils réfléchiront avant d'amplifier un phénomène déjà bien assez dramatique.

Alors mal chance ou boomerang ?

Atchoum

 

23/03/00
Loin de moi l'idée de mettre en doute la portée du drame que représente la marée noire de l'Erika pour nos côtes atlantiques. Loin de moi l'idée et l'envie de rire de cet catastrophe. Je suis une amoureuse de la mer et une pratiquante de ses plages que ce soit en bipède ou en char à voiliste, MAIS, il y a toujours un mais, je crains que le vicomte de Villiers ait un peu pété les plombs...

Ok les plages de Vendée ont été inondées, que dis-je effacées de la carte par les reflux de pétrole et d'ailleurs, je le prouve grâce à ces photos prises sur les plages vendéennes entre les Sables d'Olonne et la Tranche sur mer : (cliquer sur les photos)

Je sais, c'est facile de se moquer et puis j'entends déjà les protestations des défenseurs de la nature sincères mais un peu emportés. Mettons-nous d'accord ! La marée noire est une réelle catastrophe, il n'empêche que mes parents qui habitent en Vendée ont ramé pour m'envoyer quelques photos de pétrole. Alors gardons la tête froide et apportons plutôt notre aide de la façon qui nous est possible aux habitants des côtes bretonnes qui, eux, ont vraiment été touchés par ce fléau. 

Atchoum

Sur la vague...

¨ L'été arrive !

Où apprendre à naviguer ?

Avant de pouvoir participer au Vendée Globe (cf. photos sur Voilier), il faudra vous perfectioner un peu... Voiles & Voiliers, comme chaque année, publie son Hors série sur la question pour bien choisir son stage et séjour voile. Des adresses agréées par la FFV, des séjours jeunes sur tout le littoral français. Dans tous les bons kiosques à journaux - Prix 35 Francs.

Retrouvez la Fédération française de voile sur internet : http://ffvoile.org

¨ J'ai testé pour vous...

Virtual skipper, à ne pas manquer

J'ai testé pour vous Virtual Skipper.

Prix indicatif : 299 Francs

Il faut pas mal de mémoire pour ne pas trop ramer (un comble pour un voilier) et la configuration nécessite du matériel performant mais après les problèmes techniques, cette simulation de régate est un vrai bonheur sans manipulation compliquée de manoeuvre. Il reste technique de naviguer car il demande d'utiliser les risées, les courants, et la tactique de course...

Cette simulation est donc abordable pour tous niveaux de débutantà expert (même pour ceux qui n'ont jamais navigué, un entraînement est disponible sur le CD).

Gros plus pour les passionnés : Virtual Skipper en réseau et sur le net. Connectez-vous sur le site pour tester le jeu et vous mesurer à des skippers du monde entier.

http://www.virtualskipper.com

Et maintenant Virtual Skipper 2 est sorti. Vous pouvez télécharger la démo sur leur site.

¨ Découverte

Des espèces inconnues dans les trous bleus (Terre Sauvage N°142-p22)

Tom Lliffe de l'Université de Calveston, Texas, vient de trouver et d'identifier plus de 10 crustacés encore inconnus dans un "trou bleu*" des Bahamas, à Oven Rock. Certaines de ces espèces existaient déjà, il y a plus de 100 millions d'années. Elles ont toutes été trouvées au même endroit. "Ces espèces peuvent nous apprendre de quelle manière la vie a évolué sur Terre", indique Tom Lliffe. Le biologiste se bat pour obtenir une protection définitive de la plupart des trous bleus. "Les habitants de la région ne réalisent pas leur importance, dit-il. Ils s'en servent souvent comme décharges pour leurs ordures les plus volumineuses." Au détriment du trésor qui s'y trouve !

*trou bleu : grotte forée par l'eau dans le calcaire. Un jour leur plafond s'est écroulé, révélant ainsi une vie qui s'est développée le plus souvent à l'abri de toute influence extérieure. Il est cerné par le corail.

 

¨ Coup de cœur pour le POGO 8,50

Larg. 3,60 m - Voil. 53 m² - Poids 2,80 T. Pour 376 900 F, ce petit bijou est insubmersible, navigue en 1ère catégorie et pourra vous emmener jusqu'à 17 nœuds sous spi lourd. Plaisir de la glisse, confort et sécurité semblent réunis d'après Voiles & Voiliers.